LA NOURRITURE Bien que habitués, de par leur origine, à un régime maigre, une nourriture riche et équilibrée dans la phase de croissance de ces grands chiens est de la plus haute importance. A partir de 5 à 6 mois il faut néanmoins veiller à ne pas les suralimenter (particulièrement en protéines), afin d’éviter une croissance et une prise de poids trop rapides ainsi que d'éventuels problèmes de comportement. Nous avons d'excellents résultats avec des croquettes de bonne qualité et ne voulons pas rentrer dans les combats qui font rage entre les différents théories de nutrition. Nous recommandons de n'utiliser les croquettes pour chiots (pour grande race) que jusqu'à l'âge de 3-4 mois et non pas, comme indiqué par les fabriquants jusqu'à 1 an. Pendant cette période (jusqu’à environ 14 mois) il ne faut pas non plus leur faire faire des efforts trop soutenus. Le chien adulte a besoin de relativement peu de nourriture. Il suffit de tâter régulièrement ses côtes pour s’assurer de son état. Il vaut mieux qu'ils soient un tantinet maigre que trop gros. Comme pour tous les grands chiens, il faut être conscient du risque d’une torsion de l’estomac. Pour réduire ce risque il est recommandé de répartir la nourriture en deux repas quotidiens et d’éviter toute excitation après ces prises de nourriture. Il ne faut pas trop s'inquiéter, si de temps en temps ils ne mangent plus rien ou très peu. L'appetit leur reviendra normalement au bout de quelques jours. |
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BESOINS DES BERGERS D'ASIE-CENTRALE - LA NOURRITURE
LES BESOINS DES BERGERS D'ASIE-CENTRALE
Sans la possibilité de parcourir les vastes steppes et montagnes de leurs patries, les Bergers d’Asie Centrale ont besoin d’espace et d’exercice ainsi que d’un travail, si ce n’est pas comme protecteurs de troupeau, au moins en tant que gardiens d’un territoire qui corresponde à leur taille.
C'est en couple qu'ils sont le plus heureux, avec idéalement quelques animaux domestiques à protéger. Tout ce qui fait partie de la maison est rapidement reconnu et accepté, mais le chat du voisin est un prédateur qui envahit leur territoire. Il sera traité en conséquence.
Bien qu'ils puissent, dans leur fonction au troupeau, travailler en groupe, il n'est possible que dans quelques cas exceptionels de faire cohabiter plusieurs mâles ou plusieurs femelles adultes sur un même territoire limité et sans activité structurante. Les conflits de hiérarchie constants entre individus dominants ne seraient pas acceptable chez nous. La castration peut éventuellement désamorcer la situation.
Loin d’être des animaux d’appartement, ces chiens seront, été comme hiver, mieux dans leur niche au jardin, que dans une maison surchauffée. Un chenil est non seulement un lieu pour les enfermer quand les voisins viennent en visite avec leur «teckel hargneux», mais également une zone de repos bien à eux et une nécessité incontournable pour les chiennes en chaleur.
De par leur origine cette race est habituée à de grands écarts de température et peut s’adapter à la plupart des climats.
